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F  e  s  t  i  v  a  l     o  f  f     d’    A  v  i  g  n  o  n     2  0  2  5

B i l l e t t e r i e

10h00 – Marie Pagès voit la vie en rose

de Marie Pagès

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet / 50 min

Marie Pagès revient, là où on ne l’attendait pas. Dans un stand-up !

Marie PagesLe stand-up c’est, pour elle, avant tout, casser le 4ème mur, être en prise directe avec les spectateurs… parler comme elle le fait dans la « vraie vie » avec les personnes qu’elle croise et qu’elle ne connaît pas (à condition toutefois qu’elles affichent un sourire et/ou un regard qui pétille) !!!
Et tous les stand-up ne se ressemblent pas. C’est une question de couleur de l’humour et de l’humeur ! Elle, son dada, c’est tenter de repeindre la vie en rose. Ce n’est pas toujours facile. Il reste parfois des taches sombres persistantes, mais elle est têtue !  Suivez-la, pour commencer la journée, dans ce coq à l’âne foisonnant, optimiste et joyeux. Il n’y a pas d’heure pour rire et sourire !

 

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11h20 – Boxeur

de Maura Pettorruso

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet /  1h

Sur le ring où chaque coup est une histoire et chaque round une bataille, la boxe devient un chant de liberté

BOXEURUne histoire avec différentes perspectives qui vous plongera au cœur de la lutte pour la dignité et la liberté ! « Boxeur », le puissant texte de Maura Pettorruso, est une œuvre qui entrelace les histoires de deux boxeurs extraordinaires : Eugenio Smit Lorenzoni et Victor Young Perez. Ces deux hommes, symboles de résistance et d’espoir, nous racontent comment la boxe n’est pas seulement un sport, mais une véritable métaphore de la vie.
Dans une narration captivante, un acteur nous guide à travers la vie d’Eugenio, qui, à la recherche de réponses et d’un moyen de faire face à sa colère, découvre dans la boxe un espace de libération et de communauté. Contrairement à ses attentes de violence, il trouve un environnement solidaire qui le soutient dans sa lutte personnelle et collective. Ses défis deviennent un reflet des injustices sociales qui continuent à marquer notre histoire. En même temps, Victor, un jeune champion juif, représente le courage et la résilience face à la brutalité nazie. Sa lutte pour la survie dans les camps de concentration nous rappelle l’importance de la mémoire historique et le pouvoir de faire entendre sa voix contre l’oppression.
« Boxeur » n’est pas seulement une histoire de boxe ; c’est un puissant appel à la justice sociale, une invitation à réfléchir sur les batailles quotidiennes des travailleurs et des opprimés. Une œuvre qui explore l’identité et la valeur de la liberté dans un monde marqué par la violence et la discrimination. Un spectacle qui vous laissera inspirés et motivés à lutter pour ce en quoi vous croyez.

 

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12h40 – Ce qui reste de l’amour

de Carlotta Clerici

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet /  1h15

L’amour – le vrai – ne meurt pas. Ce sont les relations qui prennent fin.

Ce qui reste d'un amourOn aurait tellement envie, quand on est amoureux, que ce soit pour toujours.
Une pièce sur la force, les mystères et les contradictions du sentiment amoureux : deux personnages s’affrontent, deux façons de voir la vie et l’amour.
Hugo est épris de liberté. Alice est idéaliste et romantique. Un an exact après leur brusque rupture, Alice débarque chez Hugo au milieu de la nuit : que reste-t-il de cet amour qu’elle croyait éternel ? Les anciens amants donnent le change pour cacher leur trouble, ils se mentent, résistent, chancèlent. Un an après cette nuit-là, c’est Hugo qui sonne à la porte d’Alice…

L’amour – le vrai – ne meurt pas. Ce sont les relations qui prennent fin.

 

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14h20 – J’ai découvert la haine le jour de mes dix ans

de Albert Cohen

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet /  1h

Antisémitisme. Racisme. Refus et rejet de la différence de l’autre… L’amour plus fort que la haine.

J'ai découvert la haine ...« Ô vous, frères humains », le texte original et une interprète. Rien d’autre.
Un jour en sortant de l’école, un enfant doux et confiant s’approche du camelot qui, devant sa table pliante, vend un détacheur universel. Plein d’amour, de curiosité et tout sourire, l’enfant est soudain fracassé de malheur. Il rencontre la haine en ce jour de ses dix ans.
Toi, tu es un youpin, hein ! Tu es un sale juif, hein ! …
Tu es un sale gros, hein ! Un sale roux ! Une sale noire ! Une sale arabe ! Un sale boutonneux ! Un sale pédé ! Un sale nain !
Antisémitisme. Racisme. Refus et rejet de la différence de l’autre. Quelle qu’elle soit.  L’amour éperdu de l’un. La haine de l’autre. La foi en l’amour et en la vie.  Sylvie Adjedj-Reiffers s’empare du style direct de l’écriture d’Albert Cohen. L’émotion, la colère, la tendresse. Donner ce texte, encore. Partager et dire ces mots essentiels, encore.

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15h45 – Ravissement

de Juliane Stern

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet / 1h15

Ce que le courage doit à la douceur, de l’esclavage à la liberté.

BakhitaZianigo, Vénétie, 1886.
Quand Bakhita rencontre Illuminato pour la première fois, elle ne le regarde pas: elle garde les yeux baissés et les épaules rentrées, comme devant tous les hommes qu’elle croise depuis tant d’années. 
Quand Illuminato rencontre Bakhita, il voit ce qu’il n’a jamais vu: une femme noire. Et une esclave. 

Inspiré de la véritable histoire de Joséphine Bakhita (1869-1947), jeune femme soudanaise au parcours de libération hors norme, RAVISSEMENT nous plonge au coeur d’ une renaissance humaine et spirituelle.
« Une amitié sincère portée par un splendide duo. Le récit du parcours de Bakhita est essentiel, et sa mise en scène, d’une douceur absolue. » La Terrasse

 

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17h25 – Cartes Muettes

de Pietro De Nova, Maurizio Zucchi

Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet / 55min

Et si toutes les villes du monde n’étaient rien de plus qu’un stand de marché?

Cartes muettes

Ponent et Levant se rencontrent dans un marché, désert comme avant une tempête. Ils reviennent d’un long voyage qui dure depuis des années. Ils se regardent avec les yeux de ceux qui se connaissent depuis toujours, même si quelque chose ne va pas. Les vents qui portent leurs noms ont toujours soufflé partout et ils ont ainsi traversé les villes les plus modernes et les caravansérails les plus insolites. Les expériences qu’ils ont vécues ont rempli leurs valises et leurs yeux, mais la rencontre de leurs vies est sur le point de leur offrir la plus belle des histoires.

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18h50 – Théâtrophobia
de Julien Masdoua
Du 5 au 26 juillet relâche les 9, 16, 23 juillet / 1h20
Comédie immersive qui fait un peu peur.
theatrophobiaCharles souffre de théâtrophobie : la simple idée de franchir la porte d’une salle de théâtre le terrorise. Au bout de deux ans de thérapie, il décide de se confronter à sa plus grande peur. Mais il a choisi le mauvais spectacle, le mauvais soir, au mauvais endroit : un théâtre hanté par le fantôme d’une spectatrice morte d’ennui…
Au travers des superstitions et des rituels propres au monde du théâtre, « Théâtrophobia » propose une réflexion pleine d’humour autour de nos croyances individuelles, de nos pensées limitantes et des origines parfois surprenantes de nos traumas.
Que faire quand on fait tomber une paire de ciseaux en loge ? Ou vont les comédiens qui perdent leur texte ? De quelle couleur sont les yeux de la peur ? Et surtout, quel est le secret que partagent, sans le savoir, tous les gens qui vont au théâtre ?
Les réponses se trouvent de l’autre coté du miroir, celui des loges, à mi-chemin entre cour et jardin, en suivant la lumière…

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20h35 – La chanson française fait son festival d’Avignon
Du 5 au 26 juillet /  55min
« Venez découvrir la nouvelle scène musicale française »
La chanson francaisePlanète bleue présente le festival de la chanson française au festival d’Avignon pour ses 25 ans
Ce festival a pour objectif de découvrir et de faire la promotion de talents
Vous allez découvrir des auteurs compositeurs interprètes : Tom Tom, Guillaume B13,Johanna Baget, Jacques Loucel ainsi que d’autres lauréats du festival de la chanson Française tous auteurs compositeurs interprètes.

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21h55 – Si c’est une fille on l’appellera Violette
de Charlotte Braquet
Du 6 au 26 juillet relâche les 7, 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21, 25 juillet / 1h20
“La résilience c’est l’art de naviguer dans les torrents. Boris Cyrulnik”

Affiche vierge juste titre(1)Marguerite et Benjamin s’aiment et du fruit de leur amour, ils tentent une énième fois d’avoir un enfant mais c’est un nouvel échec. Ils doivent recourir à l’aide médicale à la procréation pour réaliser leur rêve de parentalité. Le parcours est long, lourd et fastidieux. Entre la pression familiale et les mains du système médical de la procréation médicalement assistée, c’est tout un environnement qui vient les alourdir, face auquel les proches de Marguerite ont tous leur mot à dire.

La pièce, écriture personnelle, évoque un sujet d’actualité, celui appelé par les médecins le « parcours du combattant ». Elle partage avec beaucoup de recul, d’humilité et dans une nécessaire dérision et légèreté , les influences inconscientes de la PMA sur le corps et questionne sur les résurgences d’une enfance traumatique dans la capacité à procréer.

 
 

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21h55 – Démons
de Lars Noren
Du 5 au 25 juillet relâche les 6, 8, 10, 12, 14, 18, 20, 22, 24 juillet /  1h20
Comment vivre en paix à 8 millards sur une planète,
quand on a du mal à deux dans un appartement ?

affiche démons emilien.pdf (10)(1)La pièce commence avec Katarina, seule au milieu du salon. Frank passe la porte d’entrée avec les cendres encore chaudes de sa mère dans une urne. Ici commence cette soirée, dans l’appartement confiné de Frank et Katarina, couple déchiré par la violence et le désespoir, où le temps semble suspendu. Mais ce soir, suite au désistement de dernière minute du frère de Frank, le couple se retrouve dans l’obligation de passer la soirée ensemble. Incapables de n’exister qu’à deux, ils invitent leurs voisins du dessous, Jenna et Tomas, à monter. Très vite, la soirée vire au chaos : rancunes, frustrations et secrets enfouis éclatent, mêlant les quatre personnages dans un jeu cruel de manipulation et de destruction. Un manège que rien ne semble pouvoir arrêter et dont personne ne semble pouvoir sortir. 

Mais dans cet enchaînement d’affrontements intenses et d’émotions brutes, une question demeure : où finit la réalité et où commence la projection ?La pièce se termine avec Katarina, seule, au milieu du salon. Démons explore les confins de la psyché humaine, questionne comment notre incapacité à aimer, nos attachements dysfonctionnels et la violence que l’on abrite peuvent nous emmener jusqu’aux portes de la folie, et de la maladie mentale. Sommes-nous le reflet du monde que l’on habite ? Dans cette pièce, nous explorons les liens, nos pulsions et nos craintes, l’infiniment petit, afin de, peut-être, comprendre le chaos de l’immensément grand.